• Cet article fait suite à la notice de montage des empennages ICI

    Partie 6: Mise en croix

    Reste à réunir les sous-ensembles fuselage, demi-ailes et empennage, autrement dit: effectuer la mis en croix de l'appareil. Si pour l'empennage cela ne posera pas trop de problème (il sera posé en fin d'assemblage), il en est tout autrement des ailes en respectant les calages de l'original, à savoir:

    - Incidence de 3°30  et un dièdre de  2°30 pour l'aile supérieure

    - incidence de 4°  et un dièdre de 3°30 pour l'aile inférieure

    - flèche de  9° pour l'ensemble des ailes

    A noter que les mats entre les ailes ont aussi leur propres inclinaisons vers l'avant et sur les cotés (deux par deux, heureusement).

    Une mise en croix, sur un modèle biplan, est toujours une affaire délicate. Chaque modéliste à sa méthode fonction de son adresse et de son expérience. Les planches de maquettes sont généralement avares de conseils pour cette opération.

    Pour ma part, j'ai essayé de faire simple et rationnel en faisant appel à un bâti dont la base est une planchette de bois relativement tendre (contre plaqué de peuplier par exemple). J'ai aussi fait en sorte que les solutions retenues permettent une réutilisation de ce bâti pour d'autres éventuelles versions du Stampe!

    Vous avez noté que j'ai particulièrement attiré l'attention sur la qualité géométrique de la réalisation de l'ensemble constitué de la partie centrale de l'aile supérieure, de la partie supérieure du fuselage située juste en dessous et des mâtereaux qui les relient.Cet ensemble constitue un peu "la clé de voute" de notre modèle. C'est une sorte de prisme indéformable sur lequel, après liaison au fuselage, viendront se brocher les demi ailes supérieures, leur donnant de ce fait leur incidence.

    De même, le brochage des demi ailes inférieures sur le fuselage leur donnera automatiquement une incidence correcte.

        STAMPE Mise en croix  STAMPE Mise en croixSTAMPE Mise en croix  

    L'intrados de l'aile inférieure sert de référence et est plaquée sur le bâti. Deux pièces (bois) en U immobilisent le fuselage en position à l'avant et à l'arrière, et sont collées sur le plateau.

    L'angle de flèche (9°) est tracée sur le bâti en partant de l'intersection bord d'attaque de l'aile / fuselage. Une butée sera collée sur le bâti en arrière du saumon une fois la flèche donnée au bord d'attaque.

    La position de l'équerre en carton maintiendra l'aile à la bonne incidence et sera immobilisée sur le bâti au moyen d'une pince. Vous noterez sur mon bâti la présence de deux cales triangulaires collées. Elles sont positionnées de façon à donner le bon dièdre. L'intrados des demi ailes reposant dessus, il n'y a juste qu'à glisser dessous et latéralement l'équerre en carton  jusqu'à la position limite pour que l'aile ne se soulève pas.La demi aile supérieure correspondante est brochée et repose sur l'équerre, le bord d'attaque en appui. A noter que la flèche de l'aile supérieure est de 9°15', ce qui représente un écart de 0.2mm à une distance de 98mm....On oubliera!

    Au préalable on s'assurera que tous les trous qui recevront les haubans ont bien été percés (0.5mm), de même que ceux de la commande d'ailerons (0.3mm).

    Les mats sont réalisés de la même manière que ceux de la cabane. Les quatre mats sont identiques. Leur longueur est déterminée avec précision (compas à pointe sèche). Le collage est fait à la cyano (micro goutte à chaque extrémité des cap avant pose), et accélérateur de cyano une fois positionné correctement. Le fait que la demi aile supérieure est juste positionnée sur l'équerre facilite l'opération. Attention: la cyano tache le papier devenant brillante au séchage. Sur du papier mat, le résultat n'est pas terrible! Par contre ce type de collage contribue largement à la rigidité de l'ensemble.

    Je ne m'étendrai pas sur la pose du haubanage. Chacun à sa technique. Pour ma part, et à cette échelle, il est réalisé en cap de 3/10, la plus fine que l'on trouve en tiges bien droites dans le commerce.  Mise en place à l'aide d'une pince brucelle (amagnétique de préférence), brin par brin. Travail un peu fastidieux, mais avec un peu de patience....

    Les raccords karmans d'ailes se posent une fois ces dernières en place. Ils sont (comme dans la réalité) en deux parties. La partie supérieure doit être préformée au niveau du bord d'attaque pour faciliter sa pose. Délicats à poser question accessibilité....mais en restant zen.... La partie d'intrados est une simple bandelette.

     

        STAMPE Mise en croix  STAMPE Mise en croix STAMPE SV4C NOTICE DE MONTAGE Mise en croix

     Partie 7 le train d'atterrissage et l'hélice

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  •  Cet article fait suite à la notice de montage de la partie centrale de l'aile supérieure accessible ICI

    Partie 4 Les ailes

     

    Le profil est le bien connu Clark Y d'une épaisseur relative d'environ 10% donc très fin. La volonté de respecter celui-ci m'a fait écarter la réalisations d'ailerons séparés. Ils n'auraient pas apporté grand chose coté visuel, Ils sont à axe d'articulation déporté donc filent bien avec le profil sans jour apparent à leur jointure à l'extrados des ailes. De plus ils ne sont pas à épaisseur constante, celle-ci étant dégressive au niveau du bord marginal. Par la force des choses, impasse sera ainsi faite sur le fait que lorsque les ailerons de l'aile inférieure sont à 0° ceux de l'aile supérieure sont relevés de 2°.....

     

    Si le profil, le classique clark Y, a l'énorme avantage d'avoir un intrados plat facilitant le montage....à plat, le respect de sa faible épaisseur relative a imposé le choix d'une structure "allégée".  Mis à part le décrochement à l'emplanture de l'aile supérieure les demi ailes sont en tout point identiques deux à deux.

      STAMPE ailes  STAMPE ailes  STAMPE ailes

    Les éléments de structure sont collés sur le gabarit ce qui confère à l'ensemble une certaine rigidité (tout est relatif). Le plus délicat sera de veiller à ne pas vriller l'aile lors de la pose du revêtement.

    Les nervures d'emplanture seront percées pour le passage des broches en mème temps que celles du tronçon central de l'aile pour les demi ailes supérieures, et les flancs du fuselage pour les demi ailes inférieures.

      STAMPE ailes  STAMPE ailes  STAMPE ailes

    Le revêtement est préformé de façon à obtenir un bord d'attaque de faible rayon. Il sera replié sur lui même en assurant un léger décalage entre les bords de fuite pour tenir compte de la différence de longueur entre intrados et extrados. On procède en pinçant entre le pouce et l'index l'intrados contre l'extrados en retrait du bord d'attaque et en faisant courir les doigts le long de l'envergure, tout en se rapprochant du bord d'attaque. Y aller progressivement, un pli à cet endroit serait rédhibitoire!

      STAMPE ailes  STAMPE ailes  STAMPE ailes

     

    L'extrados de l'aile, au niveau du saumon, ne peut être rabattu directement, cette partie étant non développable. Généralement cette partie est  dessinée à part puis rapporté sur l'aile en dissimulant au mieux la jonction entre les deux parties du revêtement.

    Dans le cas présent, vu la finesse du profil, on peut quand même réaliser le recouvrement d'un seul tenant. C'est limite, mais ça passe. La difficulté se situera à la racine du saumon au niveau des bord d'attaque et de fuite. A ce niveau, j'ai renforcé la structure, en assurant la continuité du profil.  Le pourtour du saumon sera biseauté sur sa face supérieure (intrados plat pour mémoire). Un léger coup de poncette sera sans doute nécessaire pour aligner extrados des nervures et longerons. Cela évitera de disgracieuses "cotes de cheval".

    Positionnement et collage de la structure dans le revêtement par un fin filet de colle au bord de fuite. Une fois bien sec, de la colle est glissée sous le gabarit pour assurer un bon placage de celui ci sur l'intrados de l'aile. On éliminera l'excédent de papier au bord marginal.

    A ce stade on peut percer les trous à l'intrados de l'aile supérieure. Ces trous correspondent à l'implantation des mats et des commandes aller retour des ailerons. L'opération sera plus délicate  en ce qui concerne l'aile inférieure et ne pourra etre réalisée qu'àprès collage de l'extrados en prenant gare de ne pas traverser l'aile. On peut rabattre et coller l'extrados. Collage uniquement au bord de fuite et au pourtour de la nervure d'emplanture (toujours les fameuses cotes de cheval à éviter). Un appui sur une surface bien plane assurera la rectitude du bord de fuite. Attention à ne pas introduire de vrillage lorsque l'on rabat l'extrados.

    Reste à assurer la jointure de l'extrados et de l'intrados à la périphérie du renfort en bout d'aile. Procéder par collage de proche en proche en laissant bien sécher la colle à chaque étape. C'est une étape délicate mais avec un peu de patience, on y arrive. La preuve!.

      STAMPE ailes

    Empennages (partie 5)

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  • Cet article fait suite à la notice de montage des ailes   ICI

    Partie 5: Empennages

    L'empennage est doté d'un profil biconvexe symétrique très fin d'une épaisseur d'une dizaine de centimètre d'épaisseur (86mm relevé sur les plans d'usine) soit de l'ordre de 2.5mm à l'échelle du 1/33. Difficile dans ce cas de le doter d'une structure. 

    Pour le représenter, j'écarte le profil planche au pourtour simplement arrondi. J'ai opté pour un noyau profilé sur lequel on appliquera le revetement. Bien entendu les gouvernes sont séparées ce qui ajoute au réalisme et donnera un peu de vie au modèle.

     STAMPE Empennages  STAMPE Empennages  STAMPE Empennages

     L'âme est un contre collage de deux épaisseurs de carton fort de 1mm. Le film de colle entre les deux carton matérialisera l'axe de symétrie et contribuera à la rigidité de l'ensemble.

    Une fois les noyaux de la dérive et de la profondeur mis en forme, on en sépare les parties mobiles. Uniquement le bord d'attaque du volet de profondeur est à arrondir celui du volet de dérive reste tel quel (angles vifs)

     STAMPE Empennages  STAMPE Empennages  STAMPE Empennages

    Une foi les éléments "entoilés", on réalise les encoches dans le bord d'attaque du volet de profondeur et on perce les trous qui recevront les charnières (fil de cuivre de 5/10) coté volets des gouvernes. Le fil de cuivre est issu de bobinages de moteurs électriques et à l'avantage d’être beaucoup plus malléable que le fil de laiton. 

     Le fil de cuivre est collé dans les trous en laissant dépassé une longueur d'une dizaine de mm tout au plus. Les trous sont percés en vis à vis dans l'étambot et dans la face arrière du plan fixe. Les gouvernes sont glissées et collées sur les extrémités des fils de cuivre, ceux ci ayant été préalablement coudés. A noter que si au niveau de la profondeur les éléments sont pratiquement jointifs, un jour subsiste au niveau de ceux de la direction, le bord d'attaque de la dérive n'étant pas arrondi. Dans la réalité, une bande de toile, alignée verticalement sur l'axe de l'ensemble et positionnée entre les charnières vient occulter cette ouverture.

    Mise en croix (partie 6)

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  • Cet article fait suite à la notice de montage du capot et du plastron accessible ICI

    Partie 3: élément central de l'aile supérieure et cabane

    Pour coller au plus près à la réalité, l'aile supérieure est constituée de deux demi-ailes qui venant se brocher sur un élément central, lui même  relié au fuselage par des mâtereaux (la cabane).

    Il aurait été plus simple de réaliser l'aile supérieure d'un seul tenant, mais pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué, selon l'expression consacrée.

     Voyons cela en détail.

    La cabane qui supporte l'aile supérieure est l'élément clé dans la construction de notre modèle. Non du fait que son élément central contienne en réalité le réservoir de carburant, mais par ce qu'elle servira de référence pour la mise en place des ailes, puis de tout l'ensemble mats et  haubans.

    Outre la flèche prononcée que présente la voilure, les ailes sont dotées de dièdres différents (2°30 pour l'aile supérieure, et 3°30 pour l'aile inférieure), et je ne parle pas de leurs incidences, elles aussi différentes. Donc, la réalisation de cet élément est à soigner tout particulièrement. 

    Comme on peut le voir sur les photos ci-dessous, le volume du réservoir étant plus important que le volume défini par les nervures d'extrémités. Un entoilage englobe structure et réservoir et profile l'ensemble. On ne peut plus simple.... dans la réalité.

    Pour la maquette nous le réaliserons en trois parties: le noyau central (21) et des carénages (21a et b) qui viendront habiller extrados et l'intrados.

                STAMPE reservoir                 STAMPE reservoir 

                                                                                      Vue d'ensemble du plan central.

    Noter les accessoires que nous nous efforcerons de reproduire: rétroviseur et poignées de part et d'autre de celui-ci au bord de fuite, jauge à l'intrados et bouchon de remplissage et évent du réservoir à l'extrados, tous ces éléments étant bien visibles sur les photos ci-dessus.  A noter la tuyauterie d'alimentation du moteur qui court le long du mat avant gauche de la cabane avant de pénétrer dans le fuselage.

    La réalisation de la partie centrale de l'aile est intéressante à plus d'un titre, sa réalisation faisant appel à peu près à tous les gestes ou astuces à maitriser ou à connaitre quand on se lance dans le montage d'une maquette en papier.

      STAMPE reservoir  STAMPE reservoir  STAMPE reservoir

    On commence par assembler la structure. Le choix du carton de renfort est important (pas du chewing gum....). Ici du 1mm. Tous les assemblages se font à la colle à bois (dite colle blanche). Les poignées sont en fil de cuivre de 5/10 (récup bobinages moteurs électriques), plus facile à façonner que de la corde à piano. Entre les deux poignées prendra place ultérieurement le rétroviseur. Les broches qui serviront au raccordement des deux demi ailes supérieures sur cette partie centrale sont en cap de 10/10. Remarquez que les champs des pièces sont mis en couleur avant collage (au choix: crayon aquacolor, feutre, acrylique.....) pour éviter d'éventuelles zones où la couleur du carton apparaitrait. A noter aussi que les pièces qui le demandent sont pré galbées avant collage.

    En ce qui concerne le carénage supérieur, le collage se fait bord à bord après mise en forme. Je l'ai agrémenté du bouchon de remplissage du réservoir. A coté prendra place, ultérieurement, la mise à l'ait libre du réservoir figurée par un bout de cap de 3/10.

    STAMPE cabanne  STAMPE cabanne  STAMPE cabanne

    On pourra faire appel à un petit bâti provisoire en carton qui permettra de positionner et immobiliser les mâtereaux dans leur position exacte, un montage "en l'air" de la cabane étant quelque peu aléatoire. Celui sur les photos est un exemple "lourd". On peut faire plus simple en utilisant un gabarit dont le dessin figure sur la notice de la maquette. Question de dextérité. Les mâtereaux affectent, par paire, une forme de "U", pris en sandwich entre deux épaisseurs de carton. Bien entendu, si vous faites appel à un bâti, celui-ci sera détruit à la fin, libérant ainsi une structure bien rigide et parfaitement indéformable.

      STAMPE cabanne   STAMPE cabanne  STAMPE cabanne 

    Les mâtereaux sont habillés, puis le réservoir vient s'enficher à leurs extrémités. On réalisera le croisillonage latéral gauche.

     Noter que l'on peu attendre, pour la pose du réservoir, d'avoir déterminé la longueur exact de l'habillage des mats et des haubans (compas à pointe sèche pour déterminer les longueurs exactes) en le remplaçant provisoirement par une platine en carton où seront percés les quatre trous d'encrage. Cela évite d'endommager  le réservoir lors des manipulations.

    Une fois en possession des haubans à leur juste longueur, le réservoir est enfiché et collé aux extrémités des mâtereaux après l'avoir immobilisé longitudinalement par une petite cale à son bord de fuite (raison pour laquelle je n'ai pas encore posé le rétroviseur). Le haubanage est collé à la cyano aux extrémités des mâts. Le plus délicat est de veiller à conserver une géométrie parfaite de l'ensemble tout au long de son assemblage. Le moindre décalage angulaire compromettra la bonne mise en croix de l'ensemble. 

      STAMPE cabanne  STAMPE cabanne  STAMPE cabanne

    Avant de poser le croisillonage coté gauche j'ai mis en place le filtre à carburant et le tube d'alimentation qui descend le long du mâtereau avant. Je l'ai réalisé en fil à gants "Fil au chinois" que j'ai teinté en jaune. Initialement j'avais prévu de le réaliser en fil de cuivre plus réaliste quoiqu'un peu plus délicat à mettre en forme, mais la tenue de la peinture sur un fil métallique relativement long est très aléatoire malgré dégraissage et couche d’apprêt. Celle ci à tendance à s'écailler et toute retouche est du plus mauvais effet. Mais vous avez sans doute une astuce....Les brides sont des bandelettes de papier, et le tube du filtre, un bout de tige métallique que les "jusqu'au boutistes" du tout papier ne manqueront pas de réaliser en papier roulé. Si, si, c'est possible, mais j'ai des gros doigts..... Ci joint une photo du dit filtre et le cheminement du tube le long du mât avant gauche. A noter que le tube pénètre dans le fuselage au pied du mat pas toujours de façon aussi "voyante" que sur la photo.

    On pourra maintenant poser le croisillonage entre les mâtereaux, et détruire le bâti arrivé en fin de mission.

    On réalise la partie avant du fuselage sur laquelle viendra se positionner notre cabane.

    Le tableau de bord: j'ai repris celui proposé par Réginald Jouhaud dans son ouvrage "Stampe Legende Vivante". Il est vrai que ceux équipant la patrouille Rothmans devaient etre sensiblement différent (instruments en mesure anglaise, présence d'une radio). Mais faute de photos....Ca conception est on ne peut plus classique avec une feuille de rhodoïd fin intercalée entre le fond sur lequel sont représentés les cadrans (certains ont été repris en photoréalisme) et la face avant évidée à leurs emplacements. Le bandeau inférieur se positionne sur la partie incurvée située au même niveau sur le fuselage.

    Avant de réunir la cabane et la partie supérieure du fuselage et avant que tout accès ne devienne compliqué, on mettra en place la tôle masquant le poste avant (en sur épaisseur sur la maquette comme dans la réalité. A noter que la fixation du pare brise avant est conservée, ce dernier étant retiré car inutile, son maintien  représentant, aérodynamiquement parlant, un élément perturbateur.

    Le pare brise du poste arrière est réalisé dans une feuille de rhodoïd fin, d'après les plans d'usine, de même que les supports!

    Enfin les instruments (température et pression d'huile) au carénages bien profilés, seront positionnés à leurs emplacements respectifs.                 STAMPE cabanne  STAMPE cabanne STAMPE cabanne     

    La partie supérieure du fuselage est glissé dans la cabane et le bas du "U" des mâtereaux trouve naturellement sa place dans les rainures qui leur sont destinées où une goutte de cyano les immobilisera. On posera les haubans entre les deux mâts avant et ceux en diagonales entre les mâts avant et arrière. Ne sachant trop comment les positionner au niveau de l'arrondi supérieur du fuselage, Réginald Jouhaud m'a crobardé vite fait de quoi répondre à mon questionnement.Tout est devenu immédiatement plus clair.

     STAMPE cabanne    STAMPE cabanne       STAMPE cabanne 

      On n'oubliera pas le rétroviseur entre les les deux poignées à l'arrière du réservoir!

    Pour éliminer le stress accumulé durant ce montage, une anecdote::

    Pour le plan supérieur il y a normalement un karman de raccord entre les ailes et le réservoir, mais comme son montage n’est pas obligatoire il est souvent  omis, ce qui permet une surveillance des points d’attache. Il parait qu’en voltige ça fait une différence!

    Pour les Rothmans on a du photos du même appareil « avec » et sans ». A vue de nez, l’écart fait autour de 4 ou 5cm, juste de quoi serrer les écrous d’attache.

    Les  Ailes (partie 4)

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