• EXPO HOBBIES PASSION TARBES

    Une superbe expo avec un petit reportage de Paskal, avec qui j'exposais, et pour qui c'était la première expo.

    http://www.maquettes-papier.net/forumenpapier/viewtopic.php?f=96&p=131140#p131140

    Bonne lecture

     

     

     


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  • MOTEUR LE RHONE 9C

    Un peu d'histoire:

     Le Rhône 9C était un moteur rotatif à 9 cylindres produit en France par la Société des Moteurs Le Rhône en 1916. 

     

    Le «Le Rhône 9C» était un développement du «Le Rhône 7», un moteur à sept cylindres, lui même extrapolé du moteur Gnome «Oméga».

     

     

    D’une puissance de 80ch à 1200tr/mn, aux qualités de robustesse et de fiabilité légendaires, il fut produit à plus de 10.000 exemplaires.

    Il fut largement utilisé sur les avions français de la première guerre mondiale : Caudron GIII et GIV, Farman HF20, Morane Saulnier type H,L, N, et

    P, Nieuport 10 et 21, Pionnier M1, ainsi que sur des avions anglais comme les Sopwith Camel, Pup ou S.E.4..

     

    Bref descriptif

     

    Dans un moteur rotatif, le vilebrequin est fixe et le carter et les cylindres tournent autour. Les pistons transmettent leur mouvement alternatif par des bielles toutes reliées au pied de l’une d’entre elles appelée bielle maîtresse. L’hélice est solidaire du carter et tourne avec ce dernier.

     

     

    Une illustration animée vous est proposée sur le site http://www.animatedengines.com/gnome.html

     

    Par rapport aux moteur Gnôme, les différences les plus marquantes sont deux soupapes en tête de cylindres (admission et echappement) au lieu d’une seule (échappement), l’admission se faisant par des tubulures parralleles aux cylindres et non par l’intermediaire du vilebrequin creux et du Le moteur fonctionne avec un mélange essence/huile de ricin, et l’échappement étant «libre», les capotages servent plus à canaliser vers le dessous du fuselage l’huile rejetée que pour de quelconques considérations aérodynamiques.

     

     Les sources

     Elles ne manquent pas sur le sujet. A titre indicatif :

    http://www.aviation-history.com/engines/rotary.htm

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Gnome_et_Rh%C3%B4ne

    https://www.hydroretro.net/etudegh/moteursdelegende_lerhone.pdf

    http://www.hydroretro.net/etudegh/Rototos_en_guerre_Le_Rhone.pdf

     Sans oublier Le Fana de l’Aviation n° 480 et 481 "le court règne des moteurs rotatifs"

    La maquette:

    Il est relativement aisé de trouver des dessins cotés permettant de dessiner ce moteur avec un maximum de précision.

     

    MOTEUR LE RHONE 9CMOTEUR LE RHONE 9CMOTEUR LE RHONE 9C

     

     Et pour les passionnés de belle mécanique, la notice de montage et de réglage dont sont extraits les doc ci-dessus VOIR

     Deux niveaux de difficulté sont proposés pour la réalisation de ce moteur: une version simplifiée dont le montage est accessible au plus grand nombre, et une version plus élaborée avec des cylindres en deux parties et l’ajout d’équipements comme les culbuteurs, bougies etc.

     A noter que si votre moteur est en partie dissimulé sous un capotage, un «super détaillage» pourra etre envisagé uniquement pour les parties visibles du moteur, sous réserve d’opter pour une hélice non tournante, bien sûr.

     Quelque soit le niveau, une option «moteur tournant» est proposée. Cette possibilité a été étudiée pour l’ éventuelle présentation, en diorama, d’un avion équipé de ce moteur, l’hélice (et le moteur) tournant dans le souffle d’un petit ventilateur….Pourquoi pas.

     Après plusieurs essais infructueux, l’idée de présenter des tubulures d’admissions «tubulaires» a été abandonnée. Il est très difficile de cintrer proprement, sur de petits rayons, du tube papier. Une solution aurait été de les réaliser un fil de cuivre (bobinage de moteur électrique par exemple), solution beaucoup plus aisée mais s‘écartant trop, à mon idée, de l’esprit dans lequel doit être conçue une maquette papier. On est puriste ou on ne l’est pas!

     En 2006, un site :TheBrainstorminnArtStudio, proposait en téléchargement gratuit, les planches permettant de réaliser un LeRhône 9C au 1/33. Ce moteur, bien que traité simplement, était de facture parfois supérieure à ce que l’on peut trouver en accompagnement de certaines maquettes. 

     Ce site ayant disparu, je m'autorise le droit de publier le scan des planches dont j'ai perdu le fichier original, mais pour lesquelles j'avais conservé une impression.  VOIR

     Le montage

     Même dans sa version la plus évoluée, le nombre de pièces reste limité et un examen attentif de la planche devrait suffire pour mener à bien le montage de ce «berlingot».

     Seul l'assemblage du carter, dans la mesure ou vous avez choisi de rendre l'ensemble carter/hélice mobile, demande un peu de soin.

    MOTEUR LE RHONE 9CMOTEUR LE RHONE 9CMOTEUR LE RHONE 9C

                Fermeture carter                     Roulage des cylindres (version simple)        Pliage tubulures admission

    MOTEUR LE RHONE 9CMOTEUR LE RHONE 9CMOTEUR LE RHONE 9C

            Ensemble carter cylindres                     Version simple de face                     Version avancée de face....

    MOTEUR LE RHONE 9C

                        .....et de dos

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     Téléchargement une planche au format A4, 2Mo environ la planche.

     PLANCHE

     ou sur le site de mon ami Pierre: 

     http://pierreg.free.fr/carton/projet/myproj.htm

     

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  • NIEUPORT 10 n°328 de GUYNEMER

    Un peu d'histoire.

    L'histoire du Nieuport 10, et de la version monoplace en particulier, a été évoquée lors de la présentation du Nieuport  n°310 de Guynemer. Voici donc quelques commentaires sur le son Nieuport 10 n°328.

    Mai-juin 1916. Après avoir piloté un Nieuport 11 (n°836) avec il remporta sa huitième victoire, Guynemer est blessé. De retour au combat après sa convalescence, il touche un nouveau "vieux Charles", le troisième du nom. C'est un Nieuport 10 monoplace n°328 sur lequel il remportera sa neuvième victoire et une douteuse.

    Par rapport au Nieuport 10 n°320 déjà traité, celui ci bénéficiait d'un appui tête et d'un rétroviseur vraisemblablement installés à la demande de l'as.

    NIEUPORT 10 n°328 de GUYNEMER

    Ceux- ci sont bien visibles sur la photo ci dessus tirée du remarquable site d'Albin Denis sur les escadrilles de l'aéronautique militaire française de 1910 à 1918 http://albindenis.free.fr/Site_escadrille/escadrille003.htm. La "Lewis" est déposée, mais on remarque le chargeur posé contre le renvoi d'aileron gauche.

    La maquette.

    Se référer au montage du Nieuport 10 n°320. Les seules variantes étant la forme de l'arceau entre les deux mâtereaux arrières supportant l'aile supérieure, l'appui tête profilé, et, pour les pinailleurs, le rétroviseur.Ci-dessous une photo qui parle d'elle même concernant l'assemblage du fuselage, opération à soigner tout particulièrement si l'on ne veut pas obtenir une forme "bananoïdale".!

    NIEUPORT 10 n°328 de GUYNEMER

    Quelques photos.

    NIEUPORT 10 n°328 de GUYNEMERNIEUPORT 10 n°328 de GUYNEMERNIEUPORT 10 n°328 de GUYNEMER

    Sur la dernière photo à droite, vous ne manquerez pas de remarquer le rétroviseur.......et oui, quand on aime......

    NIEUPORT 10 n°328 de GUYNEMERNIEUPORT 10 n°328 de GUYNEMER

     

     

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    Téléchargement des 2 planches, au format A4, 2Mo environ la planche.

    PLANCHE 1       PLANCHE 2

     ou sur le site de mon ami Pierre.

    http://pierreg.free.fr/carton/projet/myproj.htm

     

    Mes autres modèles NIEUPORT au 1/66  VOIR

    Bons vols.

     

     

     


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    NIEUPORT 10 n°320 de GUYNEMER;

    Un peu d'histoire.

    Le Nieuport 10 fut le premier avion Nieuport de formule biplan mis en service au cours de la guerre 1914-1918.

    Il fut, dans un premier temps,dénommé Nie-XB (B pour biplan), puis Nie-10.

    Il fut étudié, semble t'il, par Gustave Delage, début 1914, en vue de disputer la coupe Gordon Bennett de cette même année. Puis ce fut la guerre. Le projet évolua vers un appareil militaire destiné à l'observation dont la formule biplan répondait à la demande de l'état major (visibilité et maniabilité).

    Le Nieuport 10 est directement dérivé du Nie-X monoplan. Il est équipé d'un moteur rotatif Le Rhône de 80cv habillé d'un capot en fer à cheval. Un certain nombre d'appareils furent équipés de moteurs dérivés du  même type allant jusqu'à 120ch (Nie-10Bis).

    Initialement, l'observateur/mitrailleur était positionné devant le pilote, ce qui occasionnait une gêne visuelle pour ce dernier. Les positions furent, par la suite, inversées.

    De nombreux Nieuport 10 furent d'abord transformés en monoplaces , la place de l'observateur étant obstruée par une tôle, puis produits dans cette configuration. Une mitrailleuse était fixée à l'extrados de l'aile supérieure et actionnée par le pilote par l'intermédiaire d'un câble Bowden.

    La version monoplace a été utilisée par les Français, Britanniques, Belges et Russes à plus d'un millier d'exemplaires et fut construite sous licence en Italie (240 exemplaires) et en Russie.

    Le Nieuport 10 numéro 320: le premier "Vieux Charles" de Guynemer.

    Le Nieuport 10, numéro de série 320, fut affecté à Georges Guynemer le 10 octobre 1915. Cet appareil avait été auparavant la monture du Sergent Armand Bonnard, muté fin septembre à l'Escadrille N91S. Ce dernier avait baptisé son appareil "Vieux Charles" pour une raison inconnue. Peut être en hommage au doyen de l'escadrille: Jules Védrine, surnommé "Charles".

    Guynemer gardera le nom de baptême et le reportera sur tous ses autres appareils.

    Il pilota cet avion du 10 octobre 1915 au 5 mars 1916 et remporta à son bord six victoires homologuées et une "douteuse". L'avion finit sa carrière.....en capotant dans la neige.

    A noter que seul le flanc droit du fuselage porte l'inscription "Vieux Charles".

    Documentation.

    Le Fana de l'Aviation n°507 de février 2012.

    Le Windsock Datafile 68 par J.M. Bruce.

    Le net, bien sûr, où l'on peut trouver quelques photos intéressantes comme celle ci-dessous donnant une bonne idée du haubanage (non traité sur les planches que je vous propose car identique sur nombre de Nieuport et donc de schéma aisé à comprendre).

    NIEUPORT 10

    La maquette.

    Toutes mes réalisations sont constituées d'une ossature en carton fort (5/10, voir 10/10mm, que j'habille avec du papier 160g. La maquette est manipulable (pas de risque d'écrasement), et, au prix d'un minimum de soin au montage, la géométrie de l'appareil est facile à respecter.

    Cette méthode est parfaitement adaptée à des avions à cabine fermée pour lesquelles les vitrages sont simulés.

    Il n'en va pas de même pour des avions à cabine ouverte pour lesquels la tranche des flancs, au niveau de l'habitacle, doit être réaliste et ne peut excéder 4 à 5/10 d'épaisseur, tout au plus. Or, les flancs constituent un élément essentiel de l'ossature. Il me fallait donc imaginer un compromis entre rigidité et réalisme. Ce fut le défi que constitua cette maquette d'autant plus que je voulais soigner particulièrement la présentation du poste de pilotage.

    Le résultat est une épaisseur des flancs réaliste de 32/10 (deux épaisseurs de papier 160g contre collées).

    Le plan 3 vues proposé par J.M. Bruce dans son ouvrage à servi de base au dessin de cette maquette. On trouve aussi, sur le net, un plan succinct, mais coté, sur le net, qui constitue un excellent complément.

    NIEUPORT 10

                                               https://static.rcgroups.net/forums/attachments/4/1/2/1/5/2/a6197766-192-Nieuport_10_ZFM.jpg

    Pour ceux qui sont (encore) des inconditionnels de la maquette plastique, deux fabricants proposent, pour une trentaine d'euros pièce, des maquettes à monter de Nieuport 10: Spécial Hobby au 1/48 et HR Model au 1/72.

    Le montage.

    L'aide d'un bâti de montage me semble indispensable. Le mien est réalisé à partir de chutes de carton, ctp et balsa.

    Pour le reste, le mode opératoire retenu est globalement le même pour toutes mes maquettes même si celui ci est affiné au fil des maquettes de par l'expérience acquise. Je me limiterai donc à quelques conseils concernant des points particuliers, les indications portées sur les planches se suffisant à elles mêmes, du moins pour un modéliste papier quelque peu averti.

    Le moteur.

    NIEUPORT 10                                    NIEUPORT 10
                         Quand on aime on représente tout.....même ce qui sera masqué!

    Il est possible de ne détailler que la partie visible de celui-ci. De toutes les façons il convient de "délaminer" les cylindres avant de les rouler sur une queue de foret ou une cap de 10/10 (http://www.criquetaero.fr/petits-tubes-de-papier-a135591458).

    Fuselage et aile.

    NIEUPORT 10                                   NIEUPORT 10

         Juste avant la pose du fond....                                          Cintrage avant pose du longeron

     Pour le fuselage je conseille le mode opératoire suivant:

    Collage de la structure composée de S1, S2, S3 et S4 en veillant à un équerrage parfait de l'ensemble. Pose des habillage intérieurs 4 et 5 sur 1 et collage de S5 en butée contre ces derniers. Collages des flancs en arrière de S5 (attention à la symétrie). Mise en place de S4 et du support de palonnier (attention toujours à la symétrie). Le fond pourra ètre mis en place après pose du siège.

    En ce qui concerne l'aile, les bords de fuite sont assemblés par un fin filet de colle, puis l'ensemble est roulé pour obtenir le profil creux. Enfin marquer le pli du bord d'attaque. Le longeron sera positionné au 1/3 de la corde de l'aile et immobilisé par une micro ,goutte de colle à chaque extrémité. On pourra procéder alors à la mise en forme des saumons.

    Mats et haubanage.

      NIEUPORT 10                                   NIEUPORT 10

       Le bâti: minimaliste mais suffisant.                                                           Yapuka....

    La photo ci-dessus parle d'elle même. L'aile est maintenue contre le bâti par une cornière en balsa au niveau du bord d'attaque (deux épaisseurs de balsa 15/10 décalées) et plaquée contre celui-ci par deux épingles au niveau du bord de fuite après interposition de petites cales en balsa d'épaisseur appropriée.

    Le fuselage, équipé uniquement de ses mats verticaux arrières est positionné sur l'aile.

    A propos des mats, leur largeur idéale est de 1.2mm pas facile à obtenir du fait de l'emploi d'une cap de 5/10 comme âme. Du 4/10 aurait mieux convenu. Mème remarque pour les jambes de train.

    Une chute de balsa rainurée assure l'équerrage du fuselage. Les flancs de ce dernier n'étant pas parallèles, deux équerres en carton permettront de contrôler son positionnement. La queue est calée en hauteur de façon que la lisse supérieur du fuselage (bande noire) soit parallèle au bâti.

    A noter le fil de laiton 5/10 (longeron du plan inférieur) traverse le fuselage et est plié de façon à reposer sur la pointe des mats en V de l'aile. On peut utiliser aussi de la cap pour le longeron, mais son élasticité naturelle ne facilite pas la mise en forme.

    Important: le dièdre de l'aile inférieur est de 3°7 soit environ 2mm en bout d'aile. Son respect dépend de la qualité du perçage du passage du longeron dans le fuselage. Il est toutefois possible de jouer un peu sur la hauteur des mats en V pour s'assurer un dièdre correct. Même s'il n'est pas important (en valeur), l'essentiel est qu'il se voit.

    Les haubans sont réalisés en cap de 3/10 à défaut de pouvoir ètre tirés d'épingles d'entomologistes (2/10) faute d'une longueur suffisante (34mm maxi). J'ai renoncé à la cap de 1/10 qui, d'une part, est difficile à dresser et, d'autre part, ne se remarque pratiquement pas une fois posée.

    Par contre les commandes de direction et profondeur sont tirées de celles-ci. Je les ai laissées noir pour conserver la finesse originel de leur diamètre. Il est fort possible que de les peindre couleur argent n'altère pas trop ce dernier. A voir.

    A noter que le câble supérieur de la commande de profondeur traverse le plan fixe du stabilisateur....ouverture à ajuster en conséquence (foret de 3/10)

    Si vous voulez rester zen pendant la délicate opération que consiste la pose des haubans, je vous conseille d'utiliser des brucelles amagnétiques. Les miennes proviennent de chez Multirex (20€ les 6 pub gratuite).

    L'empennage.

    La dérive est braquée légèrement vers la droite pour correspondre au braquage voulu du palonnier. De mème, la profondeur est" à piquer", position naturelle au repos. La position du manche est en conséquence.

    Cela donne un peu de vie au modèle sans compliquer pour autant le montage. Les perfectionnistes pourront détacher les ailerons. Je n'ai pas osé de peur d'introduire un quelconque vrillage de l'aile. Si d'aucun tentaient l'aventure en donnant un certain braquage aux ailerons, il conviendra de positionner les guignols de commande dans les positions ad hoc. Cela ouvre des horizons aux "empapaouteurs de mouches"!

    Habitacle.

    Avant que la remarque ne me soit faite, je confirme que le tableau de bord est le fruit de mon imagination dicté essentiellement par le besoin d'un renfort à cet endroit du fuselage. D'après les rares documents que j'ai pu consulter à ce sujet il semblerait que cet élément n'existait pas. Les quelques instruments étaient directement fixés sur les lisses latérales. Le pilote avait une vue directe sur le réservoir de carburant et sa jauge, celui ci étant positionné contre la cloison pare feu, sous le carénage supérieur du fuselage.

    Les instruments ont bénéficié de la traditionnelle goutte de vernis (crystal clear) pour leur donner un peu de brillance, et le siège, de ceintures rapportées.

    Et puis....

    Les roues ont bénéficié d'un méplat simulant l'écrasement de celui-ci au sol. Les prises d'air latérales du carburateur sont tirées d'aiguilles de seringues de 8/10 de diamètre. Vous pouvez faire de même pour le canon de la Lewis avec une aiguille de seringue à insuline dont le diamètre est de 3/10. Jusqu'à nouvel ordre, un tube, c'est creux! A noter que la Lewis est équipée de son cable bowden permettant ,au pilote de faire feu tout en restant assis. Par contre, pour changer le chargeur, il devait basculer l'arme et se lever de son siège....tout en pilotant. Manoeuvre au combien délicate!

     

    Quelques photos de détails et d'ensemble.

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    Téléchargement des 2 planches, au format A4, 2Mo environ la planche.

    PLANCHE 1            PLANCHE 2

    ou sur le site de mon ami Pierre. 

    http://pierreg.free.fr/carton/projet/myproj.htm

     

    Mes autres modèles NIEUPORT au 1/66  VOIR

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